Par André NAOUSSI, à Douala (Cameroun)
L’on attend des réponses précises et concrètes à cette interrogation, au cours d’un atelier qui se déroule du 15 au 17 mars à Douala, ville portuaire et capitale économique du Cameroun.
Il sera question de valider une étude menée pendant six mois sur toute la chaine de valeur de la filière crevettière, qui demeure le premier produit halieutique d’exportation du Cameroun. Des perspectives claires et réalistes sont espérées.
La rencontre est organisée par la branche nationale du “Projet Fish For ACP” (Fish4Acp), piloté par la FAO en Afrique-Caraïbes-Pacifique, et qui a ciblé la crevette comme produit porteur pour le Cameroun.
La soixantaine de participants viennent des horizons les plus variés : pêcheurs industriels et artisanaux, transformatrices, grossistes, chercheurs, ministères (pêches, transports, douanes, commerce), vétérinaires, communicateurs, organismes régionaux, etc.
Cet atelier bénéficie du soutien du ministère des Pêches du Cameroun, de l’Union Européenne, et du Ministère fédéral allemand pour la coopération économique et le développement (BMZ).